Cet arrêté avait initialement été pris jusqu’au 31 janvier 2020. Il cesse donc de produire ses effets quelques semaines plus tôt.
Il apparaît en l’espèce que l’appréciation théorique, par le juge, de la situation en termes de sécurité sur le quartier lors de la prise de cet arrêté est foncièrement éloignée de celle des habitants.
En tout état de cause, cet arrêté ainsi que les démarches entreprises auprès du Département et du centre d’hébergement ont très visiblement conduit à des mesures ayant permis de rétablir l’ordre et la sécurité publics, ce qui était l’objectif premier de ces actions.
La Ville demeure évidemment attentive à la situation et de nouvelles mesures ne manqueraient pas d’être prises si des problèmes venaient à survenir à nouveau, dans le souci constant de la sécurité des Fréjusiens.